Revirement inattendu, hier, dans la salle d’audience de la Cour d’assises où W.L était jugé pour de multiples viols en 2010 sur les trois enfants de sa compagne, alors âgées de 9, 11 et 13 ans.
Le ti-père qui avait longuement nié, prétendant un complot des fillettes, a passablement surpris en lisant à la suite des débats une lettre d’aveux et d’excuses. « Je suis peut-être malade« , a-t-il avancé. L’initiative, appréciée par l’avocate des jeunes soeurs, n’a toutefois pas pu atténuer la violence et la gravité des faits.
Le trentenaire s’est vu condamner à une peine de 18 ans de réclusion, assortie d’un suivi socio-judiciaire de 10 ans.