Revenir à la rubrique : Faits divers

Plusieurs journalistes pris à partie par des partisans de Thierry Robert

Aujourd’hui, les journalistes du Jir n’étaient pas les bienvenus à la conférence de presse de Thierry Robert… Quand une caméra avec le logo du journal a été aperçue par un des militants du député-maire de Saint-Leu, le ton est vite monté. Bousculade, arrachage de caméra… La journaliste mise en cause a été priée de quitter […]

Ecrit par zinfos974 – le samedi 15 septembre 2012 à 16H08

Aujourd’hui, les journalistes du Jir n’étaient pas les bienvenus à la conférence de presse de Thierry Robert… Quand une caméra avec le logo du journal a été aperçue par un des militants du député-maire de Saint-Leu, le ton est vite monté. Bousculade, arrachage de caméra… La journaliste mise en cause a été priée de quitter les lieux (voir la vidéo).

Et on apprend à l’instant sur radio Freedom, où Thierry Durigneux, rédacteur en chef du Quotidien s’est exprimé, qu’un journaliste du Quotdien est actuellement à l’hôpital. Il aurait, d’après Thierry Durigneux été « frappé, jeté au sol et molesté » par des partisans de Thierry Robert. « Il ne sortira des urgences que pour porter plainte« , a-t-il déclaré. Le journaliste du Quotidien aurait été confondu avec un journaliste du Jir.

Thierry Robert, qui avait donné le ton en arrivant, en déclarant, « les journalistes du Jir ne sont pas les bienvenus« , s’est, après coup, excusé. « Je suis désolé de la cohue créée par rapport à un journaliste« , a-t-il déclaré à la fin de son intervention.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Etang-Salé : un baigneur emporté par une vague au Gouffre

Un homme de 28 ans a trouvé la mort cet après-midi sur le site du Gouffre à l’Etang-Salé. La victime faisait partie d’un groupe d’amis venus de Saint-Pierre pour se baigner. Il aurait été emporté par une vague. L’intervention des secours par hélicoptère pour transporter le baigneur vers la plage, où l’attendait un véhicule médicalisé, n’a pas permis de le sauver.

Rivière Saint-Louis : Bernadette Monnier retrouve la liberté

Privée depuis quatre ans de la possibilité de sortir sa voiture de chez elle en raison du mur construit par ses voisins, Bernadette Monnier indique que la décision de justice intimant l’ouverture d’un passage pour son véhicule serait actuellement mise en oeuvre.

Appel à témoins : Rixe à St-Paul entre deux hommes dont un en caleçon

Une dispute est survenue sur la voie publique à Plateau Caillou le mardi 23 avril entre deux individus dont l’un n’était habillé que d’un caleçon, selon les gendarmes. Un appel à témoins est lancé par les militaires afin de récolter plus d’informations sur ce qu’il s’est passé.

Des sprays anti-THC dangereux pour la santé vendus à La Réunion

À côté des sachets de CBD, un nouveau produit vendu librement a fait son apparition. Des sprays anti-THC sont présentés comme des outils permettant de duper les contrôles anti-stupéfiants, de plus en plus fréquents sur le territoire. Mais ces derniers peuvent inciter à la consommation de produits illicites en plus d’être dangereux pour la santé.

Agression du personnel pénitentiaire au Port : Le détenu voit rouge suite à la confiscation d’un plant de tomates

Julien L., détenu au centre pénitentiaire du Port, a reçu 30 jours de cachot pour avoir agressé des surveillants le 11 avril lors d’une inspection de cellule où son plant de tomates a été confisqué. Il a jeté une bouteille en verre et utilisé une casserole comme arme contre le personnel d’intervention. Suite à cet incident, qui a nécessité neuf personnes pour le maitriser, il a été condamné à huit mois supplémentaires de prison par le tribunal correctionnel.